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Acteur Chanteur : Stars & celebrites

samedi 30 octobre 2010

Christophe Willem la tortue ne fera pas appel

Comme vous le savez Christophe Willem a perdu son procès contre son ancien manager, 19 Entertainment.
En perdant il se doit de verser la somme de 79 000 euros.
Le problème, c'est que Christophe Willem lui reprochait de l'avoir forcé à signer un contrat en gestion de carrière, suite à sa victoire à la Nouvelle Star 2006.


Christophe Willem a accepte le verdict et s'engage à verser la somme demandee.
Il versera bien la somme restante à la société 19 management et ne souhaite pas faire appel de cette décision car l'objectif de cette procédure n'était pas d'ordre financier mais relevait bien de divergences professionnelles. En faisant appel, il sera obligé de payer plus, Il est intelligent, il arrête les degats
Ah combien de gala et d'album faudra-t-il qu'il fasse pour tout payer.
Bonne chance la tortue, tu y arriveras, tu es le meilleur

Eddy Mitchell dit Schmoll

Shmoll est le surnom d'Eddy Mitchell et ça lui va a ravir
Il a eu une tres belle carrière, et après cinquante ans de carrière et de scène il s'offre agréablement une ultime série de concerts.
Ce concert aura lieu dans le cadre du Théâtre André-Malraux ou il a fait de nombreux tours de chant Ma dernière séance en clin d'œil à une de ses chansons les plus célèbres.
sans compter une poignée de chansons tirées de son nouvel album Come-Back, la setlist offre un concentré des tubes qui ont jalonné son parcours.
Costume noir sur chemise blanche, bottes, Monsieur Eddy entame la soirée avec une adaptation de Chuck Berry, C'est un rocker. Dans la salle, remplie d'admirateurs qui n'auraient manqué ce dernier rendez-vous à aucun prix, la satisfaction se lit d'emblée sur les visages. Et les applaudissements accueillent les chansons rares dès leur introduction. Passé une première partie garnie de standards (Nashville ou Belleville?, Sur la route de Memphis, Il ne rentre pas ce soir), le rocker s'arrête sur les tout débuts de sa carrière, avec un medley de son groupe les Chaussettes noires. Pour l'occasion, Mitchell se remémore sa première audition - au cours de laquelle il eut le privilège de croiser rien moins que Duke Ellington, Louis Armstrong et Quincy Jones - avant d'enchaîner Tu parles trop, Daniela et Be-Bop-a-Lula.

Entouré de complices de longue date parmi lesquels on distingue le guitariste Basile Leroux et son directeur musical Michel Gaucher au saxophone, Eddy Mitchell retrouve une gestuelle à la fois féline et second degré. Il l'a reconnu lui-même, sa voix a perdu des aigus et de la souplesse, mais il prend d'évidence un grand plaisir à revenir sur ses grandes heures.

C'est lorsqu'intervient un big band de douze cuivres (saxophones, trombones, trompettes) que le spectacle prend son envol et que Mitchell paraît vraiment s'amuser. Très peu jouée ces dernières années, Toujours un coin qui me rappelle, composée par Burt Bacharach, rappelle l'amorce de sa carrière solo, lorsque son répertoire était encore constitué en majorité d'adaptations américaines. Eddy Mitchell profite de ce voyage dans le passé pour rendre hommage à celui qui est son compositeur fétiche depuis 1966, Pierre Papadiamandis, avec lequel il a signé la majorité de son répertoire original depuis lors.
Hommage à Gainsbourg

Sans jamais perdre de vue ses amours rock'n'roll, le chanteur s'affirma alors à la fois comme un parolier sensible et un interprète de ballades soignées. «Il est difficile d'écrire une chanson d'amour», avoue-t-il pourtant avant de chanter Le cimetière des éléphants, qui ne faillit jamais voir le jour mais demeure parmi ses titres préférés. Dans le même registre, Couleur menthe à l'eau, peut-être son plus grand succès, apaisa l'ambiance après la parodique Lèche-bottes blues, cosigné avec Boris Bergman. Sans jamais verser dans le pathos, Mitchell glisse astucieusement deux hommages à Serge Gainsbourg, à travers Au bar du Lutetia, évocation de soirées partagées, et Vieille Canaille, qu'ils enregistrèrent ensemble jadis. Malgré l'enjeu de ces adieux à la scène, Mitchell, pudique, ne joue jamais la carte de l'affectation pendant ses deux heures de scène.


Source : Le figaro