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Acteur Chanteur : Stars & celebrites

lundi 16 janvier 2012

Nolwenn Leroy la bretonne

Nolwenn Leroy la bretonne

Il y a peu de Bretons parmi nos internautes, mais vous avez été élue personnalité de l’année…

Oh vous savez, les Bretons sont partout. Alors merci aux Bretons de Lyon, de Saint-Etienne, de la Bresse, du Jura, de la Haute-Loire ! J’ai eu envie de rendre hommage à la mémoire et à la culture d’une région qui fait partie de moi, où j’ai passé mon enfance. Et je crois que ça a évoqué en chacun son attachement à sa propre région. À son imagerie, à sa poésie… Mais je n’étais pas dans une optique terroir, qui pourrait être un peu poussiéreuse. Au contraire, mon projet, c’était de montrer ce qu’il y a d’actuel et de moderne dans ses chansons. D’ailleurs, ça a touché beaucoup de jeunes.

L’album s’appelle « Bretonne », c’est quoi une Bretonne ?

Nous sommes des marins, des voyageurs. Donc un peuple très ouvert sur les autres. Vous savez personne ne passe par Brest. À Brest, on y va. C’est une démarche. On est tout sauf renfermés ou cloisonnés.

Vous vous attendiez à vendre 700 000 copies de ce disque ?

Non, pas du tout. Quand je fais un disque, je ne pense jamais à ce genre de chose. Je fais le disque que j’ai envie de faire, bien sûr dans l’espoir d’être entendue par le plus grand nombre, d’avoir un succès populaire. Mais on ne le fait pas dans cet unique but. D’ailleurs il a fallu que je sois très têtue pour réaliser ce disque…

Le prochain album va être difficile à écrire ?

Je ne le pense pas, c’est plus facile de rebondir sur un succès que sur un échec. Ca donne des ailes. En plus là, c’était un album de reprises, c’était comme une parenthèse.

Que vous a apporté le succès de « Bretonne » ?

Ca m’a ouvert pas mal de portes qui étaient restées fermées jusque-là, même au niveau médiatique. Un album populaire, dans le bon sens du terme, sans être un projet commercial, ça a été reconnu par les gens du métier. Parce que sur le papier, ce n’était pas un projet commercial pour un sou.

C’est Jean Dujardin qui est deuxième dans notre « Top ». Vous avez vu le film « The Artist » ?

Non hélas, je suis en tournée, je n’ai pas trop de temps. Mais je vais me rattraper ensuite ! C’est bien que ce soit lui, parce qu’on a des parcours similaires Il vient de la télé, il est passé par « Graine de stars », puis « Un gars et une fille », jusqu’au cinéma et les Oscars. C’est quand même la très grande classe internationale, ça !
Source : Le Progres

The Artist au 69e Golden Globes

The Artist au 69e Golden Globes
Le film "The Artist", le film muet en noir et blanc de Michel Haznavicius, a raflé trois récompenses dimanche aux 69e Golden Globes à Beverly Hills, dont celle de meilleur acteur dans une comédie ou comédie musicale pour Jean Dujardin.
"The Artist" a décroché également le trophée de la meilleure musique originale, composée par Ludovic Bource, et a été récompensé comme meilleure comédie musicale ou comédie.

"The Artist" était nominé au total dans six catégories. Michel Haznavicius n'a pas obtenu le Golden Globe du meilleur réalisateur, qui est revenu à Martin Scorsese pour "Hugo Cabret".

Autre film en vedette, "The Descendants", dans lequel George Clooney interprète un homme dont la femme est plongée dans le coma. Ce long métrage reçoit deux trophées, dont celui de meilleur film dramatique et, pour Clooney, celui de meilleur acteur dramatique.

Parmi les autres sacres de la soirée, celui de Meryl Streep, meilleure actrice dramatique pour son interprétation de Margaret Thatcher dans "La Dame de Fer".

Les réalisateurs Woody Allen et Steven Spielberg ont été parmi les premiers couronnés dimanche à ces Golden Globes, qui comptent parmi les récompenses les plus attendues par le monde du cinéma avant la cérémonie des Oscars et sont décernés par quelque 90 membres de l'Association de la presse étrangère de Hollywood.

Woody Allen a reçu le trophée du meilleur scénario pour son film "Midnight in Paris" et Steven Spielberg celui du meilleur film d'animation pour "Les Aventures de Tintin".

Le long-métrage iranien "Une Séparation", du réalisateur Ashgar Farhadi, a été sacré meilleur film étranger.

Le Canadien Christopher Plummer, âgé de 82 ans, obtient le trophée du meilleur second rôle masculin dans "Beginners", où il joue un retraité annonçant à sa famille qu'il est homosexuel.

Octavia Spencer a quant à elle décroché celui de meilleur second rôle féminin, et Michelle Williams est sacrée meilleure actrice d'une comédie pour son interprétation de Marilyn Monroe dans "My week with Marilyn".

Les Golden Globes récompensent aussi des séries télévisées. Le trophée de la meilleure série revient à "Homeland". A noter, entre autres, que Kate Winslet a reçu un Golden Globe dans la catégorie meilleure actrice de téléfilm ou de mini-série, et Jessica Lange celui de meilleur second rôle féminin dans un téléfilm ou une mini-série.
Source : Yahoo