Recherche personnalisée

Acteur Chanteur : Stars & celebrites

jeudi 24 mai 2012

The Voice Nouveau clip de Stephan Rizon

Un nouveau talent, un crooner a la Tomes Jones a gagné l'émission "THE VOICE"
Coaché par l'excellent  Florent Pagny, Stephan Rizon  a  tiré son épingle du jeu lors de la finale de l'émission. Ce jeune Agenais agé de 25 ans a gagné le public grâce on interprétation de l'illustre « Caruso » de Lucio Dalla et son duo enflammé avec Johnny Hallyday. Il est arrivé en tête après les trois autres finalistes Louis Delort (équipe Garou), Al.Hy (équipe Jenifer) et Aude Henneville (équipe Louis Bertignac)  qui étaient tout aussi mérirtants.
Il a remporte la victoire avec 31,5% des votes des téléspectateurs.

Avant sa participation à l'émission, le jeune homme réalise un Clip en 2010 pour sa chanson « Who do you meet at night ».




 
http://www.wat.tv/video/stephan-rizon-the-voice-who-40vlt_2fgqp_.html

Festival de Cannes

Aujourd'hui, c'est la journée Nicole Kidman au 65e Festival de Cannes. 
L'actrice australienne vient y présenter Paperboy, de l'Américain Lee Daniels, un thriller qu'on dit sensuel, en compétition pour la Palme d'or. Elle y partage l'affiche avec deux beaux garçons qui vont faire battre les coeurs féminins: Matthew McConaughey, 42 ans, et Zac Efron, 24 ans.
Nicole Kidman, qui avait enflammé la Croisette en 2001 avec Moulin Rouge, n'était pas revenue depuis Dogville en 2003. Elle fait coup double cette année puisqu'on la reverra vendredi, hors-compétition, dans le dernier film de Philip Kaufman, Hemingway & Gellhorn, où elle interprète Martha Gelhorn, la troisième femme du célèbre écrivain.

L'autre film en compétition de ce jeudi est Post Tenebras Lux, dont le titre est une citation du Livre de Job signifiant « Après les ténèbres, la lumière »: l'histoire, autobiographique par le cinéaste mexicain Carlos Reygadas, d'une famille de Mexico qui s'installe à la campagne.
Voici le progamme de Cannes ce jeudi 24 mai:

Sélection officielle, compétition

> Paperboy, de Lee Daniels (Etats-Unis), avec Nicole Kidman, Zac Efron, Matthew McConaughey. Dans les années 60, à la demande d'une blonde sexy (Nicole Kidman) dont le coeur s'enflamme régulièrement pour des détenus, un journaliste (Matthew McConaughey) revient dans sa Floride natale pour enquêter, avec son jeune frère (Zac Efron), sur la culpabilité ou l'innocence d'un condamné à mort (John Cusack). Un thriller sulfureux qui marque le grand retour à Cannes de Nicole Kidman, dont les scènes d'amour avec Zac Efron ont déjà créé le buzz sur Internet.
> Post Tenebras Lux, de Carlos Reygadas (Mexique), avec Adolfo Jimenez Castro, Nathalia Acevedo, Willebaldo Torres. Juan et sa famille ont quitté leur ville de Mexico pour s'installer à la campagne où ils profitent et souffrent d'un lieu qui voit la vie différemment. Ces deux mondes coexistent pourtant, sans savoir s'ils se complètent réellement ou si chacun lutte pour la disparition de l'autre... Un film autobiographique d'un réalisateur mexicain singulier, qui avait marqué le Festival avec Bataille dans le ciel en 2005 et Lumière silencieuse en 2007.

Sélection officielle, hors-compétition

> The Central Park Five, de Ken Burns et David McMahon (Etats-Unis). Retour sur une erreur judiciaire américaine: en 1989, cinq jeunes noirs et hispaniques de Harlem furent arrêtés et condamnés pour le viol d’une femme blanche dans Central Park, à New-York. Ils passèrent entre six et treize ans de prison avant qu’un violeur en série ne confesse être le seul auteur du crime, conduisant à l’exonération des charges qui pesaient contre eux.

Sélection officielle, Un Certain Regard

> Trois mondes, de Catherine Corsini (France), avec Clotilde Hesme, Raphaël Personnaz, Arta Dobroshi. Un jeune homme d'origine modeste renverse un soir un inconnu et s'enfuit. Pris de remords, il essaye dès le lendemain de prendre de ses nouvelles. Entre-temps, une jeune femme, qui a vu l'accident, a porté secours au blessé, dont la femme est sans papiers... Suspense sur fond de milieux sociaux défavorisés, par la réalisatrice de La répétition (avec Emmanuelle Béart), qui était en compétition en 2001.
> Miss Lovely, d'Ashim Ahluwalia (Inde), avec Nawazuddin Siddiqui, Niharita Singh, Anil George.
A Bombay en 1986, deux frères s'associent pour produire des films de série Z dans les bas-fonds de Bollywood, des films d'horreur affreux, des films de gangsters érotiques, des drames sociaux sordides. Tout cela n'est pas très légal...
Source : France soir

L'heritiere des mines Hancock

La hausse des matières premières n'est pas un problème pour tout le monde. C'est même une bénédiction pour Gina Rinehart. 
Cette multimilliardaire australienne, héritière des mines Hancock, est devenue en l'espace d'un an la femme la plus riche du monde.
La riche héritière vient de doubler l'Américaine Christy Walton, la veuve d'un des fils du fondateur des célèbres supermarchés Wal-Mart.
Ce sont les résultats de l'étude de la busness revue publiée aujourd'hui mercredi 23 mai.
Selon la liste des 200 personnes les plus riches établie par BRW, Gina Rinehart, 58 ans, dispose d'une fortune personnelle de 29,17 milliards de dollars australiens (22,48 milliards d'euros).
Pourtant, en mars, le magazine Forbes établissait la fortune Gina Rinehart à 18 milliards de dollars, loin derrière sa concurrente Christy Walton, à 25,3 milliards de dollars.
 Le responsable de la liste de la BRW, Andrew Heathcote, a expliqué que l'héritière des mines Hancock avait quasiment triplé sa fortune en un an grâce à l'envolée des prix des matières premières et à deux contrats conclus dans le charbon et le minerai de fer.
"La hausse de 18,87 milliards [de dollars australiens] de sa fortune est sans précédent. Elle résulte d'investissements étrangers dans de nouveaux projets, d'une hausse de la production (minière) et d'une reprise des prix du minerai de fer ces six derniers mois", a-t-il expliqué. Si le boom des matières premières se poursuit, "une fortune de 100 milliards de dollars n'est pas impossible", a-t-il ajouté.
Les positions de Gina Rinehart font polémique en Australie : la multimilliardaire mène une campagne de lobbying vigoureuse contre l'introduction de nouvelles taxes minières.

Source : Le Monde

jeudi 17 mai 2012

Donna Summer la reine du disco est morte

Donna Summer, c'est juste 43,6 millions d'occurences sur Google. Autant dire que la disparition de la reine du disco, annoncée jeudi matin en Amérique par TMZ, reprise par Twitter, puis confirmée par les agences de presse, a enflammé la toile en un instant. Quelques minutes seulement après l'annonce de sa mort en Floride en ce jeudi de l'Ascension, des suites d'un cancer, l'information était déjà intégrée dans sa très longue biographie établie en ligne par Wikipedia. L'histoire de cette fille d'une fratrie de sept enfants, moquée au sein de sa famille très chrétienne pour sa voix et son look déjà spectaculaire, est un roman américain. Plus qu'une simple reine du disco, c'est la première diva d'une musique qui allie intimement tradition du chant noir américain et production européenne. Le tout, mixé comme une formule irrésistible, a produit un style 100% sexe et danse. Cette mezzo-soprano, crinière à la Tina turner, yeux de braise, teint café au lait et dents de tigresse, était née sagement LaDonna Adrian Gaines le 31 décembre 1948, à Dorchester, dans la banlieue de Boston. Sous l'influence de Mahalia Jackson, superstar du gospel, elle chanta d'abord à l'église - comme Aretha Franklin , Whitney Houston et des dizaines d'autres chanteuses noires américaines. C'est paradoxalement une blanche chantant comme une noire qui va décider de sa vocation, Janis Joplin, membre du «club maudit des 27 ans», morts d'excès et de gloire à la fleur de l'âge. Même si, avant ce déclic, elle rêva d'un succès tourbillonnant, et plus communautaire, comme the Supremes et Martha and the Vandellas, les premiers «girl groups» noirs lancés par le label Motown à Detroit. Adolescente, elle les imitait avec sa soeur et sa cousine, raconte sa légende dorée. Les albums du groupe Big Brother and The Holding Company, dont faisait partie Joplin, et notamment Cheap Thrills, fameux disque dont la pochette fut dessinée par Robert Crumb, le pape de la culture underground et de ses bulles acides, la détourne vers le rock psychédélique. En plein Flower Power, elle auditionne pour la comédie musicale Hair. Elle n'est pas retenue pour jouer à Broadway, mais fera partie de la tournée européenne. Son installation en Allemagne au début des années 1970 est le tournant majeur - aussi imprévu qu'imperceptible- de son avenir. Elle y reste plusieurs années, apprend à parler allemand couramment, participe activement à la scène pop locale. Sa marche décidée vers une carrière musicale est passée par plusieurs noms, puisqu'elle signa son premier single, Sally Go'Round The Roses sous le pseudonyme de Donna Gaines. Ce n'est qu'après son mariage en 1972 avec l'acteur autrichien Helmuth Sommer qu'elle prit le nom qui resterait celui du succès, Donna Summer, prometteur comme un éternel été. 22 orgasmes simulés en 17 minutes de chanson C'est grâce à sa participation dans les choeurs du trio Three Dog Night qu'elle fait la rencontre des producteurs locaux, Pete Bellotte et surtout Giorgio Moroder, l'homme qui mettra au point le disco. Elle apporte sa contribution, décisive, en imposant ses paroles Love to Love you, Baby, sur un instrumental destiné à une autre interprète. Elle convainc le jeune mentor du disco de l'enregistrer en 1975, donne de la chair - et quelle chair! - à ce morceau qui, avec ses gémissements et ses grognements, dépasse, en terme d'érotisme explicite, Jane Birkin et Je t'aime, moi non plus, scandale censuré six ans plus tôt. Le producteur et sa muse réussissent l'exploit de faire triompher un morceau de 17 minutes contenant la simulation de 22 orgasmes. Un record, malgré le boycott des pudibondes radios américaines et même européeenes. Le succès de ce morceau révolutionnaire s'est fait dans les discothèques, notamment dans les boîtes gay, avant d'atteindre un public planétaire. Elle écoulera un million d'exemplaires de son premier album. Moroder et sa lionne exploitent le filon avec plusieurs autres titres de même nature, dont I feel love et Hot Stuff restent les meilleurs souvenirs. Ce dernier lui vaudra un de ses nombreux Grammy Awards. Source ; le figaro