Recherche personnalisée

Acteur Chanteur : Stars & celebrites

dimanche 3 juillet 2011

Mariage princier : Albert et Charlene

Mariage princier Monegasque
Après s'être fait battre par France 2 en avril dernier lors du mariage du Prince William et de Kate Middleton,
TF1 devait prendre sa revanche ce weekend avec le mariage d'Albert et Charlene. Eh bien c'est raté ! France 2 a encore raflé la mise samedi pour le "second mariage du siècle de l'année".

TF1 avait pourtant vu grand en recrutant pour l'occasion Jean-Pierre Foucault et Nikos en plus du duo Jean-Claude Narcy/Sandrine Quétier.
Rien y a fait, France 2 est arrivé largement en tête des audiences avec en moyenne plus de 4,2 millions de téléspectateurs (33,5% de parts d'audience) contre seulement 2,9 millions de téléspectateurs (23,3%).
Bravo donc à Marie Drucker et Stéphane Bern, plus que jamais le spécialiste des têtes couronnées.

A noter une chose importante à propos de ce nouveau mariage princier.
Philippe Bigot, le patron du département TV de Havas Medias France, soulignait l'absence de revenus générés par l'union du Prince Albert et Charlene Wittstock : "Ce mariage est un non-événement d'un point de vue publicitaire.
TF1


et France 2 diffusent la cérémonie de 16 heures à 20 heures sans le moindre écran de coupure. Pour nous, c'est donc une réduction du potentiel publicitaire. Les audiences nous importent donc peu. Elles représentent surtout un enjeu d'image et de suprématie éditoriale."

Côté cérémonie, le mariage d'Albert et Charlene fut magnifique, grandiose et chargé d'émotion comme avec les larmes de Charlene par exemple. Princesse Charlene était sublime dans sa robe de mariée Armani.

Même si en terme d'audience mondiale la principauté de Monaco n'a pu faire jeu égale avec le mariage de William et Kate, en revanche, le Rocher n'a pas eu à rougir de l'excellence de l'organisation et des festivités de ce weekend historique
Source : Stagora

Affaire DSK : Cyrus Vance fragilise

Affaire DSK
Le Procureur Cyrus Vance Jr s'est fait un nom dans le monde entier depuis qu'il a inculpé l'ex-patron du FMI pour viol.
Mais maintenant que la situation semble tourner à l'avantage de Dominique Strauss-Kahn, le procureur voit l'ultra-médiatisation de cette affaire se retourner contre lui.

L'affaire DSK devait être le dossier de sa vie.
Elle pourrait finalement porter un coup fatal à sa carrière.
Sous les feux de toute la presse internationale depuis qu'il a inculpé Dominique Strauss-Kahn pour viol, le procureur du comté de New York Cyrus Vance Jr pâtit désormais du spectaculaire retournement de situation provoqué par l'affaiblissement du témoignage de la plaignante, qui a mené à la remise en liberté de Dominique Strauss-Kahn.

«L'enquête a soulevé des inquiétudes concernant la crédibilité de la plaignante», a reconnu vendredi Cyrus Vance.
Une déclaration qui revêt des allures de volte-face, six semaines seulement après la sensationnelle mise sous les verrous de l'ex-patron du FMI, probable candidat à la présidentielle française.
Cette marche arrière pourrait coûter au procureur plus qu'une humiliation internationale.
Candidat à sa propre succession en 2013

C'est que, dans le système américain, les procureurs sont élus et peuvent donc être sanctionnés dans les urnes. Et pour Cyrus Vance Jr, élu en 2009 et candidat à sa propre succession en 2013, ce dernier revers en date n'est que le point culminant d'une série noire.
Le mois dernier, l'acquittement de deux policiers également accusés de viol avait déjà suscité l'émoi.
Malgré un faisceau d'éléments semblant établir leur culpabilité, les accusés n'ont pas été condamnés.
Le procureur n'a donc pas su convaincre les jurés. La semaine dernière, le scénario s'est répété avec l'acquittement de deux responsables de chantier inculpés en liaison avec l'incendie de l'immeuble de la Deutsche Bank en 2007, sinistre qui avait causé la mort de deux pompiers.
L'opinion publique n'a pas apprécié non plus.

Dans l'affaire DSK, on pourrait fort bien ne pas aller jusqu'au procès, si le procureur décidait de prononcer un non-lieu au vu de la faiblesse du dossier. L'effondrement successif de ces trois affaires ultra-médiatiques suscite les critiques et les railleries de la presse américaine. «Nouvelle débâcle», titre le New York Post, tandis que Michael Powell, éditorialiste au New York Times, s'interroge : désormais «qui, de Dominique Strauss-Kahn ou du procureur de Manhattan, a la meilleure cote pour son élection ?»

Du côté du bureau du procureur, on assure que celui-ci n'est pas déstabilisé, voire qu'il sort renforcé du retournement de l'affaire DSK. Et de plaider l'esprit de justice du procureur, indépendamment de toute arrière-pensée électoraliste. «Comme procureurs, notre devoir est de faire ce qui est juste, dans chaque dossier, sans peur ni faveur», a ainsi déclaré Cyrus Vance Jr vendredi. Et ce, a-t-il insisté, «quelles qu'en soient les conséquences».

Source Le figaro