Emma Watson s'est inscrite dans la prestigieuse Université d’Oxford (Angleterre), Voila maintenant que Daniel Radcliffe, qui s’est récemment épanché sur son ancienne dépendance à l’alcool, devrait prochainement délaisser le cinéma (dès la fin de la promotion de Harry Potter et les Reliques de la Mort – 2ème partier) pour retourner sur les bancs de la fac !
La fin d’une carrière ?
Embauché à l’aube de sa onzième année sur le tournage d’Harry Potter, Daniel Radcliffe n’a pas pu profiter de pleinement de sa jeunesse. Ainsi, l’acteur, souvent très pessimiste sur sa personne (il a récemment déclaré se sentir largement inférieur à Robert Pattinson) a du arrêter très tôt ses études pour se consacrer au cinéma. Cependant, Daniel Radcliffe aimerait aujourd’hui reprendre des études d’archéologie :
Je regarde une quantité de choses sur la chaîne Discovery Channel et j’ai commencé à envisager de m’inscrire à l’université parce que je suis de plus en plus fasciné par l’archéologie. Alors oui, aussi triste que je suis de dire au revoir à Harry, je suis vraiment excité de voir ce que réserve l’avenir
Des stars en devenir …
Ses collègues sur le tournage ont eu aussi entamé leur reconversion ! C’est ainsi que Tom Felton, qui jouera prochainement dans La Planète des Singes : Origines, aimerait également endosser la caquette de rappeur ! Rupert Grint apparaitra prochainement dans de nombreux films (Cherrybomb, Eddie The Eagle, Cross Country, Wartine Wanderers, Comrade).
Emma Watson, quant à elle, semble pour l’instant la mieux partie pour durer ! Egérie de Burberry, la jeune femme jouera prochainement dans My Week With Marilyn, The Perks of Being a WallFlower et dans Incarceron.
Source : gossy
Ya plus beau que les ETUDES
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samedi 16 juillet 2011
Le moteur de recherche de Google a l'etude pour un affaiblissement de la memoire
Des psychologues américains pensent que les internautes ont tendance à oublier plus facilement les informations qu'ils sont sûrs de retrouver sur Internet via les moteurs de recherche.
De fait, Google participerait à un affaiblissement des capacités de mémoire de l'être humain, selon une étude publiée jeudi 14 juillet dans Science.
Une équipe de trois chercheurs américains, menée par Betsy Sparrow, professeur de psychologie à l'Université de Columbia, tend à démontrer que notre capacité de mémoire est sous l'influence de notre rapport au Web.
Placés devant des questions difficiles, des cobayes ont immédiatement à l'esprit "la recherche Google" qui pourrait leur venir en aide. De même, lorsqu'il leur est demandé de stocker des informations dans un ordinateur, s'ils oublient rapidement ce qu'ils ont écrit, ils n'ignorent rien de l'endroit où ils les ont rangées.
Cette façon d'agir est aussi appelée "mémoire transactive". Pour Betsy Sparrow, autrice principale de l'étude, Internet s'est en partie substitué aux livres et aux amis. Toutes ces expériences ont conduit les chercheurs à la même conclusion : notre utilisation d'Internet a modifié notre façon d'utiliser notre mémoire.
Il est néanmoins trop tôt pour juger d'un impact réel sur le cerveau. Mais avec désormais plus d'un milliard de visiteurs uniques chaque mois, Google a incontestablement conquis le quotidien et bouleversé les codes de très nombreux internautes.
L'étude, baptisée "Google Effects on Memory: Cognitive Consequences of Having Information at Our Fingertips" ("Les effets de Google sur la mémoire : conséquences cognitives de l'accès simplifié à l'information") et est à découvrir dans Science.
Source : Le parisien
De fait, Google participerait à un affaiblissement des capacités de mémoire de l'être humain, selon une étude publiée jeudi 14 juillet dans Science.
Une équipe de trois chercheurs américains, menée par Betsy Sparrow, professeur de psychologie à l'Université de Columbia, tend à démontrer que notre capacité de mémoire est sous l'influence de notre rapport au Web.
Placés devant des questions difficiles, des cobayes ont immédiatement à l'esprit "la recherche Google" qui pourrait leur venir en aide. De même, lorsqu'il leur est demandé de stocker des informations dans un ordinateur, s'ils oublient rapidement ce qu'ils ont écrit, ils n'ignorent rien de l'endroit où ils les ont rangées.
Cette façon d'agir est aussi appelée "mémoire transactive". Pour Betsy Sparrow, autrice principale de l'étude, Internet s'est en partie substitué aux livres et aux amis. Toutes ces expériences ont conduit les chercheurs à la même conclusion : notre utilisation d'Internet a modifié notre façon d'utiliser notre mémoire.
Il est néanmoins trop tôt pour juger d'un impact réel sur le cerveau. Mais avec désormais plus d'un milliard de visiteurs uniques chaque mois, Google a incontestablement conquis le quotidien et bouleversé les codes de très nombreux internautes.
L'étude, baptisée "Google Effects on Memory: Cognitive Consequences of Having Information at Our Fingertips" ("Les effets de Google sur la mémoire : conséquences cognitives de l'accès simplifié à l'information") et est à découvrir dans Science.
Source : Le parisien
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