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Acteur Chanteur : Stars & celebrites

mercredi 31 août 2011

La fin du ramdan sans Mouammar Kadhafi a tripoli

Fin du ramadan.
Les habitants de la capitale libyenne avaient préparé toute la journée de mardi 30 août les festivités.

Certains n’ont pas pu retenir leurs larmes mercredi matin, lors de la prière collective sur la « place des Martyrs » de Tripoli, pour célébrer la fête musulmane de l’Aïd-El-Fitr, qui marque la fin du mois de Ramadan. Les Libyens étaient venus par dizaines de milliers, portant foulards et drapeaux aux couleurs de la révolution.
L’émotion était faite de joie et de peine, pour ceux qui ont perdu des proches dans la guerre.

« Je rêve de ce moment depuis quarante-deux ans », dit Neji El Malti, venu avec son fils de 6 ans. L’homme savoure l’accès libre à l’ancienne place verte, jadis réservée aux manifestations de soutien à Mouammar Kadhafi. « Nous avons vécu sous pression pendant toutes ces années, poursuit-il.
C’est l’Aïd de la libération. »

Une fête que les Tripolitains ont préparée, toute la journée de mardi.
Les rues du centre-ville étaient encombrées de voitures, pour la première fois depuis dix jours, et quelques échoppes avaient rouvert.
Dans les magasins de vêtements, les enfants se soumettaient volontiers aux séances d’essayage, la tradition voulant qu’ils portent des habits neufs pour la fin du Ramadan. « Je pratique les mêmes prix qu’avant la guerre », assure Salah Ismail.

Dans les épiceries, certaines étagères restent vides et les prix ont flambé. Le pack de six bouteilles d’eau minérale coûte 6 dinars, contre moins de 3 en temps normal. « On vend tout deux fois plus cher à cause des difficultés d’approvisionnement », explique Omar Mustapha.
Dans son échoppe emplie de senteurs épicées, il s’étonne presque de l’affluence. Le raisin sec, vendu 6 dinars le kilo avant la guerre, atteint maintenant 12 dinars. Le kilo d’amandes est passé de 12 à 18 dinars.
« La liberté n’a pas de prix »

« La vie est chère en ce moment, mais la liberté n’a pas de prix », constate Kalifa Bouichi, qui fait la queue devant une boulangerie.
Celles-ci sont prises d’assaut, ces jours-ci.
Le pain est l’une des seules denrées dont le prix est resté stable. L’homme tient dans sa main un jouet en plastique, qu’il a acheté « 5 dinars » pour son fils de 3 ans, « parce qu’il a aussi souffert ces derniers mois » .
Il arrache in extremis un sac de petits pains tandis que le boulanger ferme boutique : plus de pain.

L’épouse de Kalifa Bouichi va cuisiner le repas de rupture du jeûne « chez la famille » .
Depuis deux jours, la maison du couple est alimentée « par intermittence » en électricité, et plus une goutte d’eau ne coule.
L’approvisionnement en eau de la capitale libyenne provient essentiellement de la « Grande rivière artificielle », un projet pharaonique qui pompe l’eau sous les sables du Sahara. Selon l’Office humanitaire de l’Union européenne (Echo), la vanne permettant l’acheminement à Tripoli de 200 000 m³ d’eau par jour, à Syrte, est bloquée par les troupes d’essayage, la tradition voulant qu’ils portent des habits neufs pour la fin du Ramadan. « Je pratique les mêmes prix qu’avant la guerre », assure Salah Ismail.

Dans les épiceries, certaines étagères restent vides et les prix ont flambé. Le pack de six bouteilles d’eau minérale coûte 6 dinars, contre moins de 3 en temps normal. « On vend tout deux fois plus cher à cause des difficultés d’approvisionnement », explique Omar Mustapha.
Dans son échoppe emplie de senteurs épicées, il s’étonne presque de l’affluence. Le raisin sec, vendu 6 dinars le kilo avant la guerre, atteint maintenant 12 dinars. Le kilo d’amandes est passé de 12 à 18 dinars.
« La liberté n’a pas de prix »

« La vie est chère en ce moment, mais la liberté n’a pas de prix », constate Kalifa Bouichi, qui fait la queue devant une boulangerie.
Celles-ci sont prises d’assaut, ces jours-ci. Le pain est l’une des seules denrées dont le prix est resté stable. L’homme tient dans sa main un jouet en plastique, qu’il a acheté « 5 dinars » pour son fils de 3 ans, « parce qu’il a aussi souffert ces derniers mois » .
Il arrache in extremis un sac de petits pains tandis que le boulanger ferme boutique : plus de pain.

L’épouse de Kalifa Bouichi va cuisiner le repas de rupture du jeûne « chez la famille » . Depuis deux jours, la maison du couple est alimentée « par intermittence » en électricité, et plus une goutte d’eau ne coule. L’approvisionnement en eau de la capitale libyenne provient essentiellement de la « Grande rivière artificielle », un projet pharaonique qui pompe l’eau sous les sables du Sahara.
Selon l’Office humanitaire de l’Union européenne (Echo), la vanne permettant l’acheminement à Tripoli de 200 000 m³ d’eau par jour, à Syrte, est bloquée par les troupes Bab-Al-Azizya sert aussi d’exutoire.
Un homme sort des décombres, un gilet d’enfant à la main.
« Ça appartenait au fils de Saadi Kadhafi, assure-t-il.
Il me servira à nettoyer mon pare-brise. » Hassan Abdul Ahmed, lui, compte faire bon usage du butin récupéré dans la maison de Mouammar Kadhafi.
Son sac déborde de cassettes, de vêtements et de peintures. «
C’est l’argent du peuple libyen qui a payé tout ça », dit-il.
Source : La Croix

Les amazones de Kadhafi etaient violees

Le Raïs libyen Kadhafi aurait abusé, en compagnie d'autres hauts gradés du régime, "d'amazones" enrôlées pour assurer sa protection.
l'un des fils du dictateur libyen, on apprend aujourd'hui que la garde rapprochée du colonel était régulièrement abusée et violentée. C'est ce qu'ont révélé cinq "amazones" à Seham Sergewa, une psychologue basée à Bengasi qui l'a elle-même délivré au quotidien Times of Malta. Censées être ses gardes du corps, ces jeunes femmes étaient régulièrement violées par Mouammar Kadhafi qui ensuite les "refilait" à ses enfants et à d'autres hauts gradés du régime, qui leur faisaient subir le même sort.

Kadhafi en pyjama
Le régime enrôlait de force ces guerrières, sur qui il pratiquait un chantage. L'une d'elles a révélé avoir été forcée à rejoindre la garde rapprochée de Kadhafi après que son frère a été accusé à tort de convoyeur de drogues.
"Soit tu deviens une amazone, soit ton frère passera le reste de sa vie en prison", lui a-t-on dit.
La jeune demoiselle a dû passer une visite médicale, où elle fut soumise à un test VIH pratiqué par une infirmière d'origine slave, et fut ensuite conduite à Bab al-Aziziya, la résidence de Kadhafi à Tripoli.

Lors de leur première rencontre, le Raïs était en...pyjama. Il lui aurait fait des avances, et face à sa résistance, elle a été violée à plusieurs reprises. La guerre civile a par ailleurs donné lieu au viol de nombreuses jeunes femmes ; certaines témoignent avoir été violées par "au moins 20 soldats, parfois devant mari, enfants ou parents".
Une fille de 18 ans aurait supplié son père de ne pas regarder la scène de viol à laquelle s'adonnait un militaire.

Ces témoignages recueillis par le docteur Seham Sergewa pourraient être utilisés contre Mouammar Kadhafi s'il devait être un jour jugé par la Cour pénale internationale
Source : 7sur7

samedi 27 août 2011

Susan Boyle se dirige vers le R'n'B !

Susan Boyle va revenir avec un prochain album signé par Emeli Sande, une spécialiste du R'n'B au Royaume-Uni.
Un drole changement de direction musicale.
Très vue et revue dans le cadre de l'émission de télévision britannique Britain's Got Talent, Susan Boyle avait tres vite créer un buzz autour de ses prestations et de sa voix de son allure.
Elle a sorti deux albums a succes, et prépare un troisieme
Elle en a déjà sorti deux et travaille actuellement sur un troisième.
Susan Boyle veut changer de genre et se mettre a la tendance du jour donc le R'n'B
C'est sans aucun doute la direction ou on l'attendait le moins.
D'après la presse britannique, les producteurs de Susan Boyle ont contacté Emeli Sande pour l'écriture et la musique du disque prévu pour la fin d'année.
Très considerée et aimée au Royaume-Uni, Emeli Sande peut être fière d'avoir prêté ses talents à Cher Lloyd et Leona Lewis, laquelle s'est notamment illustrée en signant un titre sur la bande originale d'Avatar.
Susan Boyle est donc prête pour une nouvelle aventure.

Alors fera-telle encore le buzz avec le R'n'B

Ou se trouve Khadafi !

Quelle est l'évolution de la situation à Tripoli et dans le pays ?
Mansour Saif Al-Nasr a ouvert le 8 août la nouvelle ambassade de Libye en France. Elle est ornée du drapeau rouge, noir et vert de la révolution, se situe dans l'ancien consulat de la Jamahiriya, dans une petite rue bouclée par des barrières et des CRS dans le XVe arrondissement de Paris. Tout à son émotion historique, l'envoyé spécial du CNT libyen nous a reçus hier.
La situation est très bonne, presque calme.
Il reste quelques poches de résistance tenues par des mercenaires. Nos forces révolutionnaires sont en train de nettoyer.
Bientôt, Tripoli sera complètement libre. Nous avons tourné la page sombre de la dictature pour ouvrir une page de liberté, de démocratie, de justice et de droits de l'homme. La joie est partout en Libye, dans les villes et les coeurs des Libyens. La dictature la plus absurde et brutale est terminée. Le seul problème de Kadhafi était le peuple libyen. »

- Où se terre le colonel Kadhafi ?

« On ne sait pas encore exactement où il se trouve.
Je ne pense pas que Kadhafi soit un lâche mais il ne va pas mourir en combattant il va bientôt se rendre.
Kadhafi sera arrêté et traduit devant une cour de justice.
Il aura tous les moyens pour se défendre.
Nous pouvons l'assurer.
Le CNT votera pour savoir si le procès se déroulera en Libye ou devant la Cour pénale internationale.
Il devra répondre des crimes contre l'humanité commis depuis 42 ans en Libye et à l'extérieur, comme Lockerbie, l'UTA.
Des familles ont souffert des femmes et des enfants ont été exécutés car Kadhafi n'était pas content.
Le rôle de la France et de l'OTAN a-t-il été décisif ?

Je remercie la France et ses alliés, le peuple français et son grand président, Nicolas Sarkozy, qui a pris la décision courageuse d'intervenir pour sauver la population à Benghazi et à Misrata, et aider à nous débarrasser de ce dictateur. »

Quel est l'avenir du processus démocratique ?

Le CNT travaille pour instaurer un régime démocratique.
Nous avons promulgué un projet de constitution.
Il garantit des élections libres, la liberté de la presse, une cour des comptes et une justice indépendantes, une armée pour assurer la sécurité du pays et non celle d'un homme.
Nous formerons un gouvernement d'union nationale et une commission constitutionnelle.
Tout sera ouvert à des mains non tachées de sang.
Cette constitution sera soumise au peuple par voie de référendum. Nous demandons à la France et ses alliés :
Aidez-nous à construire un régime démocratique.
Source : la Voix du NOrd

Anne Sinclair et Dominique Strauss-Kahn toujours en Amerique

En refermant la porte de leur maison de TriBeCa avant de s’envoler vendredi soir pour Washington, Dominique Strauss-Kahn et Anne Sinclair ont fermé la parenthèse la plus dure de leur vie commune.
Une autre s’ouvre, moins brutale sans doute, mais néanmoins très délicate.
DSK est en tout cas apparu regonflé à bloc en sortant du taxi qui le ramenait à son domicile à Washington.
L’ancien patron du FMI était déjà concentré sur sa rencontre prévue demain, à moins que l’ouragan Irene ne bouleverse le programme, avec le personnel de l’institution internationale.
Il avait dû démissionner précipitamment en mai depuis la prison de Riker Island, où il était alors incarcéré.
Il a la ferme intention de s’expliquer clairement sur l’incroyable séquence de ces trois derniers mois.
Il doit aussi rencontrer Christine Lagarde, qui lui a succédé à la tête du FMI.
Ses projets avec son épouse, Anne Sinclair, sont, eux, encore imprécis. « Ils doivent solder la location de la maison de TriBeca et veulent vendre leur résidence de Washington », précise un proche.
Si le couple n’a pas l’intention de s’éterniser dans le pays où il a vécu un
cauchemar, il ne sait pas encore avec précision quand il rentrera en France.
Rien n’est prévu, ils vivent au jour le jour », indique-t-on dans leur entourage. « Mais ce qui est sûr, poursuit la même source, c’est que, après les Etats-Unis, ils rentreront directement à Paris.
Il n’y aura pas de pause quelque part. »

Aucun rendez-vous médiatique n’est arrêté

Le retour en France s’annonce pourtant délicat.
Anne et Dominique n’ont pas l’intention de fuir ni de se planquer, affirme un ami du couple.
DSK, qui, sitôt blanchi des accusations d’agression sexuelle pesant sur lui, avait indiqué mardi sur le pas de sa maison new-yorkaise son intention de s’exprimer longuement, n’a pour l’instant arrêté aucun rendez-vous médiatique.
« Sur le plan politique, c’est très compliqué car cela pourrait perturber le processus des primaires socialistes en cours, ce que Dominique ne souhaite pas », confie un de leurs proches, présent ce week-end à l’université d’été du PS à La Rochelle. Anne Sinclair avait, elle, très mal vécu son précédent passage en France. Au beau milieu du feuilleton judiciaire, l’épouse de DSK, venue pour voir le bébé de l’un de ses fils, avait été harcelée par les paparazzis.
Si l’ex-star de TF1 se dit aujourd’hui « extrêmement soulagée » de l’épilogue judiciaire, elle ressent aussi le contrecoup de l’incroyable tension supportée ces trois derniers mois.
« Que tout cela ait laissé des traces, c’est bien normal », reconnaît-on laconiquement dans son entourage.
Inquiets pour sa santé, certains amis du couple lui conseillent de prendre quelques vacances, ce que DSK envisagerait aussi.
Marrakech semble le point de chute idéal pour se ressourcer avec toute la famille. Mais, pour l’heure, rien n’est encore planifié.

Source : Le parisien

L'ouragan Irene deferle sur la cote est

L'ouragan Irène qui a commencé a faire des siennes, hier, la côte américaine au niveau de la Caroline du Nord, où elle a fait au moins deux morts, doit remonter vers New York aujourd'hui, menaçant d'autres États de la côte est des États-Unis. Ainsi, dans le New Jersey, plus d'un million de personnes ont été évacuées.

De la Caroline du Nord jusqu'au Massachusetts, les autorités ont décrété, hier, l'état d'urgence ou émis des alertes à l'ouragan, et des millions de personnes ont reçu l'ordre de s'éloigner des côtes, dont 370.000 dans la seule ville de New York, et plus d'un million dans un petit état voisin, le New Jersey.
En Caroline du Nord, le premier État frappé, hier, par les pluies et les vents, des arbres ont été arrachés, des autoroutes fermées et plus de 400.000 personnes étaient privées, hier soir, d'électricité, selon les services d'urgence. À New York, le maire, Michael Bloomberg a appelé, une nouvelle fois, ses administrés à la plus grande prudence. Les services de transport de la ville ont lancé à la mi-journée l'opération sans précédent qui consiste à arrêter tous les réseaux de transport en métro et en bus de la ville.
Les aéroports devaient également être fermés à la mi-journée pour tous les vols à l'arrivée.

La Garde nationale mobilisée
Les autorités de l'État ont également réquisitionné 900 gardes nationaux et 2.500 ouvriers du secteur de l'électricité, une mobilisation inédite, tandis que l'armée a fait savoir que 101.000 membres de la Garde nationale étaient mobilisables. Des avions de l'US Airforce ont quitté des bases situées en Floride, au Delaware et en Virginie, pour être mis à l'abri. La Marine a envoyé en mer, où ils sont moins vulnérables, tous ses navires amarrés dans le port de Hampton Roads (Virginie).
Le président Barack Obama s'est rendu, hier, dans un centre de crise à Washington dont il a salué les personnels : «Vous faites un magnifique travail, cela se voit. La situation est grave», a-t-il ajouté.

Un monstre de 840 km de diamètre
Véritable «monstre», Irène a un diamètre de 840 km environ, soit l'équivalent de près d'un tiers de la longueur totale de la côte est américaine (2.675 km), selon une estimation de la Nasa faite, hier, à partir de satellites.
Irène devait longer la côte est, hier et cette nuit, vers Washington, New York et Boston, une des régions les plus peuplées au monde avec 65 millions d'habitants, et pourrait s'accompagner de vagues de trois à quatre mètres de haut.
L'ouragan avait légèrement faibli hier matin, avec des vents de 140 km/h au lieu des 160 km/h enregistrés dans la nuit, passant ainsi en catégorie 1, la plus basse sur l'échelle de Saffir-Simpson qui en compte cinq, soit des vents compris entre 119 et 153 km/h.
Nous n'avons pas connu une telle menace d'ouragan sur le nord-est des États-Unis depuis des décennies, a déclaré Chris Vaccaro, porte-parole des services météorologiques.
Gloria, en 1985, est le dernier ouragan à avoir touché New York.
Source : le telegramme